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Où en sommes nous depuis mars 2020 ?

Voilà un an que la pandémie a débuté, et nous avons toujours autant d’interrogations. La plus importante est : quand retrouverons-nous une vie active normale sans les contraintes aujourd’hui imposées ? C’est une question bien légitime, mais il y en a beaucoup d’autres laissées sans réponses, car le simple fait de les formuler vous range rapidement dans la catégorie des complotistes. On serait en droit de penser que c’est une responsabilité qui incombe aux médias, mais on a le sentiment qu’ils sont soumis à la loi du silence concernant certains sujets ! Pourtant si on se laisse guider par notre bon sens, on réalise vite que l’année de galère que nous venons de vivre n’a pas réellement fait avancer les choses. Nous n’en savons pas plus sur la Covid-19 aujourd’hui qu’il y a un an, en dehors de : c’est un virus dangereux, pouvant entrainer la mort et il mute. Pour arrêter son développement, il faut vacciner le maximum de personnes. J’oubliais : le virus tue, surtout les personnes âgées et les personnes atteintes de comorbidité. Pourtant les chaines de télévision se sont battues pour inviter, aux heures de grande écoute, pléthore d’experts et de grands professeurs de médecine, pour ne dire rien de plus. Plutôt que de rassurer conformément à l’un de leurs devoirs, ils ont surtout participé à créer le climat anxiogène qui s’est abattu sur nous comme une chape de plomb.


Ne trouvez-vous pas comme moi, qu’ils feraient mieux de faire leur travail de médecin ou de chercheur plutôt que de s’afficher sur des écrans de télé, sachant qu’il y a encore beaucoup de zones d’ombre autour de cette pandémie. J’ai eu souvent la sensation d’être devant un marchand qui venait vendre quelque chose. Attention Marc ! Tes propos apparaissent comme un discrédit des principales personnes qui représentent le savoir de la médecine contemporaine. C’est l’occasion pour te cataloguer complotiste ou charlatan comme les gens qui proposent de nouvelles façons de penser, contraires à celles de ce notoire conseil scientifique, à la base de toutes les mesures gouvernementales.

Cela ne m’empêchera pas toutefois de poser les questions pour lesquelles je n’ai toujours pas des réponses correctes.


Le virus n’a pratiquement aucune incidence sur les jeunes enfants qui lorsqu’ils le contractent sont asymptomatiques, il en est de même pour les jeunes dans la tranche d’âge 18-50 ans. Quelle est l’explication ? Est-ce un problème de défenses immunitaires qui protègent mieux l’organisme de cette classe de population ? Si c’est le cas, renforcer les défenses immunitaires peut-il diminuer les cas graves de la Covid-19 ? Pourquoi alors ne donnerait-on pas la parole à ceux qui le pensent pour le dire et nous expliquer comment faire pour les booster, même si cela ne fait pas toujours appel à la médecine traditionnelle. Si cela augmente la chance de ne pas attraper le virus ou de faire une forme grave de la maladie, pourquoi est-il tabou d’en parler ?


Un des bienfaits du sport et particulièrement de courir, est de renforcer ses défenses immunitaires. N’y aurait-il pas une certaine prise de conscience sur l’efficacité des défenses immunitaires, de la part du gouvernement qui nous a astreint à ne pas dépasser un rayon d’un kilomètre dans le premier confinement, pour laisser aujourd’hui la pratique du sport en milieu ouvert sans limite de distance et de temps.


Depuis un an, le temps était largement suffisant pour faire des études afin de mesurer l’incidence des défenses immunitaires dans la réaction au Covid-19. Cela aurait pu nous rassurer au lieu de toujours nous stresser en présentant des courbes construites par des modèles mathématiques qui globalisent sans tenir compte de certaines hypothèses.


On a constaté que le taux de mortalité chez les personnes âgées, plus spécialement celles qui vivent dans les EHPAD, était plus élevé que la moyenne. On sait que c’est une population qui présente un déficit immunitaire important. Ne serait-ce pas la démonstration des bienfaits de défenses immunitaires. Sauf que la toute puissance du discours médical ne prenant pas en compte ces critères, sacralise le vaccin comme seule solution pour nous libérer de la pandémie.

Autre question : savons nous réellement comment se propage le virus. Les atermoiements sur le port du masque à l’origine, reconnaître aujourd’hui que dehors, les risques de propagation sont très faibles, etc. suscite une certaine défiance par rapport aux mesures à prendre pour nous protéger. Certains ont sûrement ouï-dire que pendant le premier confinement, les promeneurs même solitaires étaient chassés dans les montagnes par hélicoptère, comme si le virus était partout dans l’air ambiant.


Dans l’incapacité d’apporter une réponse à cette question, la solution dans le premier confinement a été de couper toutes relations avec les autres, sauf cas de force majeure, pour se nourrir essentiellement. Cela n’a guère changé aujourd’hui dans le choix des solutions. N’avions nous, encore une fois, pas eu le temps de réaliser des modèles pour analyser le taux de propagation dans les salles de spectacle, au restaurant, en plein air etc. plutôt que de tout globaliser dans la prise de décisions en fonction d’un taux de propagation général et d’occupation des centres de réanimation.


Si nous avions une meilleure information sur la propagation du virus nous serions plus serein, et nous n’imaginerions, comme cela peut arriver dans les moments de stress, que le virus avance caché et nous attend au coin de la rue chaque fois que nous nous aventurons au dehors. Par ailleurs cela nous inciterait à redoubler de vigilance, lorsque nous aurions la connaissance d’être dans une situation où la probabilité de contracter le virus serait maximale. Ce serait vraisemblablement plus efficace que de porter un masque uniquement pour ne pas attraper une contravention. Chose que beaucoup font, la plupart du temps sans aucune précaution sur la façon de le mettre et le gérer.


Enfin pourquoi mettre au silence les professeurs, les médecins traditionnels, ceux qui pratiquent une médecine alternative, qui proposent des solutions pour nous soigner, lorsque nous contractons le virus. Pourquoi il n’y aurait qu’une seule vérité détenue par des experts scientifiques qui, à l’instar de certains politiques, se sont mis à distance non pas de leurs électeurs mais de leurs patients. L’histoire pourtant nous a montré que les plus grandes découvertes scientifiques ont été souvent remises en question. Pourquoi la médecine occidentale échapperait à cette règle, surtout à une époque où beaucoup lui reprochent de trop classifier les maladies et de faire en sorte que la réponse pour les soigner soit presque chaque fois unique. Il suffit de s’informer sur la plupart des médecines non occidentales pour constater qu’il y a d’autres façons d’aborder la médecine. En effet, elles s’intéressent d’abord à la communication entre les différentes fonctions organiques et tiennent compte de la complexité du corps, pour prescrire un traitement qui peut être différent pour la même maladie.


Vous vous demandez peut-être l’utilité d’un tel texte qui ne fait que poser des questions sans trop faire avancer les choses. Ce n’est pas son but, et pas celui de faire des reproches. Il n’a qu’un objectif, faire réfléchir sur les moments difficiles que nous vivons. Je suis bien conscient que c’est plus facile dans mes conditions que pour ceux qui sont en train de perdre leur commerce, ou ont perdu leur emploi… Réfléchir avant de prendre des positions, réfléchir aussi sur ce que nous sommes capables d’accepter pour privilégier la santé par rapport à tout ce qui fait la vie, réfléchir sur notre capacité à accepter des mesures imposées par un gouvernement. En clair la docilité dont nous avons fait preuve pour accepter un confinement aussi strict que le premier, ne peut-il pas être un précédent qui fasse émerger de nouvelles idées comme la création d’un passeport sanitaire pour retrouver notre entière liberté : voyager, aller au restaurant, fréquenter des salles de sport…


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